Voyager
J’aimerais beaucoup pouvoir voyager. Un temps c’était le Japon. Pendant 2 à 3 ans, j’avais une passion pour l’animation japonaise, et par conséquent, j’étais aussi une grande fan du pays du soleil levant. Je voulais y aller, apprendre la langue. C’était un peu exagéré et un peu cliché à l’époque. Aujourd’hui, je ne regarde plus d’animés. Mais pourtant, je pense que le Japon peut toujours être un pays chouette à visiter. Mais mes objectifs seraient différents, car certainement moins centrés sur la pop culture.
Aujourd’hui, l’Irlande a remplacé le Japon dans mon classement des pays dans lesquels j’aimerais aller. C’est plus accessible de plusieurs points de vue : plus proche, plus accessible niveau langue… et la musique ! J’aime énormément la musique irlandaise, et c’est en grande partie ce qui me donne envie d’y aller. En plus de la musique, il y a les paysages; ça a l’air magnifique. Et aussi plus calme que le Japon. Les grandes villes, ce n’est pas ce qui me conviendrait le plus je pense. Je ne me sentirais pas à l’aise !
Si je peux voyager partout dans le monde, c’est génial. Découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles traditions, goûter de nouveaux plats, visiter des endroits différents. C’est réalisable, mais ça me demanderait un gros travail sur moi – même. Ce qui pourrait être très bénéfique.
Un monde meilleur
J’aimerais tellement que le monde aille mieux ! Enfin, le monde entier ! Car en Suisse, on s’en sort quand même rudement bien ! Mais il y a toujours possibilité de s’améliorer évidemment, par exemple en écoutant plus la population, ou en arrêtant d’augmenter des assurances maladies qui n’assurent pas plus !
Mais ailleurs dans le monde, c’est un peu la cata ! Guerres, catastrophes naturelles, fous au pouvoir, inégalités… ça serait bien de pouvoir régler tous ces problèmes d’un coup de baguette magique ! L’autre jour, j’ai vu des enfants jouer ensemble. Ils n’avaient pas l’air de se connaître mais ils jouaient ensemble !
Peut – être qu’ils se sont pris la tête après, parce que l’un avait pris le jouet de l’autre, ou qu’un avait eu une glace plus grande. Ils auraient peut -être fait la tête un moment, mais ils se seraient probablement réconciliés, se rendant compte que c’est pas si grave de ne pas voir un doudou qui parle alors que l’autre en a un ! Mais le monde des adultes est tellement plus vicieux ! Il est pourri ! Pourri par l’argent, par le pouvoir, par l’Ego. Sûrement par de la peur, aussi. Dans un monde idéal, je n’aurais qu’à copier coller ce passage et à l’effacer. Peut – être qu’un jour je repenserai à ces mots et je me dirai « on a quand même bien avancé ». En tout cas, je n’espère pas avoir à dire qu’on a reculé, et que les choses sont devenues pires !